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Fracas de stries, frottements, activité de micassures visant à « apparaître » au bénéfice du doute, tout cela quasi incognito, loin de l’action humaine ou du rêvé. 15 portes se succèdent, qui ouvrent sur du fixe remuement, sur le discerné d’outre voix, d’outre temps, d’outre strates ; sur ce qui vers nous peut irradier, pleine figure. C’est la lumière dont Claude Faivre plaide la cause, une lumière composée de plusieurs, anéchoïque et d’emblée cavée, une lumière partout préexistante, née d’une succession de pressions, de dépressions, et dans son imminence, l’art de graver peut en montrer tour à tour la forme incendiaire, ou l’autre, éclipsée, qui nous parviennent, parfois simultanément, et qu’il ne faut interrompre. Tous les contrastes changeant ou – couleurs envisageables – contenus dans une porte, comme dans un œil, qui s’ouvre puis se referme.