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Des faces tourmentent le papier. Elles accèdent à la ressemblance dans une convulsion de traits. Elles reculent dans le temps carbonifère d’où elles sont venues et, de là, nous regardent tragiquement. Elles ont échappé de peu au hurlement du masque. En voie de figures décomposées par ce qu’elles ont vu. Des mots, en proie à la mort, peinent à se développer des linges derniers. Ils articulent comme ils peuvent, comme s’ils n’avaient d’autre bouche qu’un gouffre. Ils pèsent aussi lourd qu’une dernière poignée de terre. Il était inévitable que les faces cherchent les mots qui les clament. Que les mots, en mal de faces, s’y regardent mourir. HB